Le coronavirus est une épidémie qui continue de prendre de l’ampleur depuis plusieurs mois. Ce virus a fait des milliers de morts sur le continent t et continue faire des ravages. Le nouveau virus a causé de lourdes pertes dans les secteurs d’activités particulièrement celui musical.
Le coronavirus a-t-il des conséquences sur la musique ?
Le coronavirus est un virus dangereux qui rond toute personne qui en est victime. Ce virus a fait sa première apparition dans la ville de wuhan en Chine. Ce virus a eu tout comme les autres secteurs de lourdes conséquences. Sur le plan musical le coronavirus a empêché le COVID-19 à annuler plusieurs concerts et activités culturelles. Cela a ainsi empêché les gens de sortir pour pouvoir suivre. Par ailleurs le coronavirus n’a pas empêché les artistes à publier leurs nouvelles sorties. La musique a perdu en 2020 4,5 Mds Euros qu’elle a pour habitude de générer jusqu’à 10,2 Mds Euros. Il faut reconnaitre que grâce au numérique, les conséquences du virus n’étaient pas trop visible. Les ventes physiques ont laissé place à la phase numérique. En tenant compte de la situation il est impossible jusqu’à ce jour d’ouvrir les concerts et les cinémas. La crise jusque-là constitue une entrave pour certains artistes de revoir leurs publics à travers les concerts, spectacles, etc.
Quels sont les autres secteurs touchés par le coronavirus ?
Le coronavirus est une pandémie mondiale et n’a épargné aucun secteur d’activité. Ce virus a touché les automobiles, le transport, l’industrie, le commerce et autres. Alors dans ces secteurs le virus en mis en branle les activités économiques et politiques car le confinement imposé dans certains pays d’Europe ne permet pas aux citoyens de sortir ce qui les empêche de vaquer à leurs occupations personnelles. Pour éviter de contracter le COVID-19, il est conseillé le port obligatoire de masque, le lavage régulier des mains, une distanciation de 1 m, etc. La pandémie du coronavirus n’a laissé personne aucun secteur d’activité. Les milliers de personnes qui sont décédées par le coronavirus dans le monde pouvaient constituer aussi une forte main d’œuvre.